Une faim de Lou pour le pleurote
C’est le dernier genre de champignon cultivé par Lou. Après les bella rosé, les portobello et bien sûr les champignons blancs de Paris, c’est au tour des pleurotes de faire leur apparition dans le portefeuille de la marque. Produits dans l’atelier dernier cri de Landivy, en Mayenne, ces pleurotes sont certifiés AB et se voient dédier quatre salles de culture.
Le spécialiste propose dès aujourd’hui trois références bio, dont deux sont disponibles en GMS : un petit colis bois de 1 kg et une barquette de 200 g. Les colis vrac carton sont réservés aux grossistes et magasins bio. Lou rappelle qu’il est inutile de laver ses pleurotes, tout comme le reste de ses champignons. Il suffit de les gratter pour ôter les éventuelles traces de terre ou de les essuyer à l’aide d’un linge humide. Au besoin, il peut être utile de recouper le pied. Quant aux « feuilles », elles se déchirent à la main.